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Synopsis : Seuls sur une planète, une gynoïde et l'Intelligence Artificielle de Bord de son vaisseau-lab récoltent des données et les renvoient à Starhome, qui attend de pouvoir s'y installer.

CYCLE

Distribution :
Tuhki : DN-1
Grushkov : Dan Lee ; MK-L

Musiques par Grushkov

Après d’extrêmement courtes délibérations avec l'équipe, ce mono n'est absolument pas une production Oriog Créations, mais ça ne vous empêche pas d'aller écouter leurs créations.
Et sans aucune délibération, ce mono est bien une production the Grenadines, donc allez voir là-bas aussi.

Superbe ! Forcément, on pense au Dr Ambrosia. L'ambiance est parfaite appuyée par une superbe musique et Tuhki est magnifique de justesse de ton et de rythme.
Bravo !

C'était vraiment très bien. 20 minutes assez sympa et un travail très agréable sur le sound design et la musique.

Bon moment passé à l'écoute de cette traversée. Bon travail d'ambiance, bon jeu, on est rapidement "dans le truc" . Un peu décontenancé par la conclusion, mais c'est un choix qui se défend. Bon boulot, bien joué

Je... et bien... Waouh.

Déjà très enthousiasmé par Big City, l'Asile et Rey Personne, et le travail fournit sur VOIX, je suis très impressionné par cette nouvelle sonore, son sound design et sa musique.

Si le scenario est simple, largement épuré, il laisse place à une immersion réussie, on est avec le personnage dans son quotidien de labeur et de recherche. L'univers qui l'entoure est très concret, le travail des scènes (aquatique, en forêt, etc.) m'a totalement transporté.

Si c'est une oeuvre en mode "total mono" c'est réussi dans son genre immersif. Si c'est une introduction à un univers qui va peut-être s'étendre c'est une très belle introduction.

La conclusion, sèche, incisive presque, tranche agréablement, je l'ai vu comme : la "machine" (si elle aime est-elle toujours une machine ?) fait son travail avec patience et analyse, mais à la fin, lorsque vient le temps d'écouter ses sentiments, les choses vont vite, la décision est immédiate et sans distance. Ce que je trouve très intéressant.

Ce travail technique impeccable met l'eau à la bouche pour vos prochaines production.

PS : Nous savons qu'Oriog fomente un putsch depuis son dirigeable stratégiquement positionné. Vous ne nous aurez pas avec une simple boisson comme couverture.

Merci tout le monde ça fait super plaisir comme retours !

C'est vraiment un mono sans prétentions et je suis content qu'il fonctionne bien !

PS : Gloire à Oriog !

C'est vraiment immersif, j'ai apprécié

Je viens d'écouter, c'était très chouette et ultra immersif, bravo grugru o/

MK-L ? Quel est le protocole pour faire une review de saga de l'été ? Merci. Je pars en exploration, je serai de retour dans un Cycle.

Si il est des séries de l'été qui s'appuient sur de solides ressorts scénaristiques, d'autres fictions filtrent les informations pour offrir une histoire dépouillée sans pour autant sacrifier un univers riche et non-moins mystérieux. Cycle fait partie de ces dernières. Une simplicité rare qui n'empêche pas pour autant de nous faire rêver au travers de l'exploration qu'effectue la gynoïde DN-1, via quelques dialogues qui manquent parfois de rigueur, et malgré un rebondissement un peu trop soudain en fin de parcours que je laisse aux plus curieux·ses découvrir à l'écoute.

Côté casting, la sobriété est de mise, avec seulement deux acteurices, Grushkov et Tuhki, qui campent les trois uniques rôles de ce one-shot. Si Tuhki offre une performance vraiment remarquable voire touchante face à une certaine solitude de son personnage, Grushkov apporte une touche un poil trop nonchalante qui, via l'écriture peu éloquente des conversations, peine à rester convaincante. Leur jeu reste néanmoins suffisamment efficace pour nous garder avec eux jusqu'au bout.

L'on revient alors vers le point fort de Cycle : sa réalisation. Grushkov signe ici une production particulièrement soignée tout au long de la vingtaine de minutes que l'on parcourt, en n'hésitant pas à jouer sur les silences pour installer une immersion forte dans les oreilles de l'auditeur. Le tout appuyé par une musique mélancolique très à propos pour ponctuer les moments forts de l'exploration de DN-1. On regrettera cependant un manque de finesse dans le sound design qui n'est pas tout à fait irréprochable sur le plan technique. Cependant, l'ensemble est solide et la prouesse est à souligner dans le cadre de la Saga de l'Été.

Pour conclure ce log, Cycle est une fiction rafraîchissante dans le paysage du concours, exploitant au mieux nos oreilles pour nous immerger dans une histoire simple mais très réussie. Un genre que l'on rencontre encore peu dans la sagasphère, et qui laisse présager du bon pour les prochaines productions de Grushkov. Alors équipez-vous de votre casque, et (re)partez en expédition avant de retourner au vaisseau-lab, vous ne le regretterez pas !

Cycle est une saga qui cherche à faire immerger l'auditeur dans une ambiance que vous avez su traiter pour qu'on s'entraîne avec les personnages dans l'histoire.
Histoire qui n'est pas très développé, c'est un choix, mais... l'écriture est prévisible, le "twist" de fin, je l'ai vu arrivé dès que le professeur a été évoqué, la réaction du personnage, le style du mono, ça s'est déroulé exactement comme je le pensais avec une justesse impressionnante .
Bref, très très agréable pour les oreilles, ça passe tout seul, mais ça ne restera pas dans ma mémoire.
Ça a été très agréable de vous entendre dans ce registre !

Pareil que Blast, l'ambiance de solitude m'a direct fait penser à Poséidôme, ce qui est paradoxal puisqu'ici le personnage est tout le temps à l'air libre, on dirait plutôt qu'il s'enferme en lui-même.

Beaucoup d'émotion dans ce mono, en particulier grâce à la musique, les arpège tourbillonant à la guitare sont très beau, et d'une manière générale gros travail sur la musique et le sound design. J'ai pas écouté beaucoup de vos monos donc ce ton est une nouveauté pour moi mais en tout cas félicitation, c'est sublime !

Merci beaucoup à toustes ! Je ne pensais pas que mon jeu vous plairait autant.
Et bravo à Grushkov pour son travail. J'ai beaucoup aimé cette histoire, que j'ai trouvé douce, intéressante et immersive. Ce fut un plaisir d'y prêter ma voix.

C'était un pari risqué à plusieurs niveaux :
- une seule actrice pour 20 minutes (quasiment) : sur ce point, c'est réussi, le jeu de Tuhki fonctionne bien ;
- beaucoup de travail sur le sound-design et les musiques : là aussi, la réalisation est au poil ;
- un scénario assez contemplatif, pour donner la part belle à ce sound-design ; il fallait vraiment oser au moment de l'écriture, et avoir une grosse confiance dans la réalisation (à raison).

Sur ce dernier point du scénario, toutefois, je suis resté un peu sur ma faim : pas vraiment de grosse action, on se laisse porter vers un déroulement assez attendu, et beaucoup d'éléments restent mystérieux - peut-être un peu trop de mystères pour un court mono de 20 minutes (à moins que ça ne s'intègre dans un nouvel univers plus vaste).
Néanmoins, un grand bravo pour ce mono, qui passe très vite (trop !), est vraiment très plaisant pour les oreilles et est assez atypique dans le cadre du concours de la saga de l'été !

Je n'ai pas grand chose à dire à part que la réalisation et le sound design sont très bons et que j'apprécie de plus en plus de voir des sagas mp3 appliquer une mise en scène cinématographique à base de silences contemplatifs bien gérés. Souvent les créateurs de sagas mp3 se disent qu'il faut tout le temps faire parler les personnages pour décrire ce qu'il se passe parce que "y a pas d'image pour qu'on comprenne par nous même", alors que le son est un excellent substitut et qu'un moment de silence peut se montrer tout à fait éloquent. On commence à voir fleurir de plus en plus de mises en scène qui fonctionnent sans narrateur et j'aime bien ça, donc je voulais le souligner ici.

Sinon comme les autres je trouve ça peut-être un peu court pour que ça déploie son plein potentiel mais rien de grave. Le jeu est bon et ça fonctionne tout tranquillou. Du bon donc

Du beep beep porn !

Nan très sérieusement, un mono centré à 100% sur une réal qui fait complètement le taf.
Le rythme traînant est complètement approprié, l'ensemble est très maîtrisé bien que prévisible.
Un excellent moment d'écoute - très centré sur ça d'ailleurs. Ça ne reste pas en tête après être passé, les ficelles sont trop grosses, les mystères trop larges pour intriguer.

Mais ça n'est pas le but, il me semble. Le but, lui, est parfaitement rempli.